Jardiner en ville
Se mettre au vert lorsque l’on habite en ville n’est pas forcément évident : pas la place, pas le temps, pas la patience, pas les connaissances… Pourtant, de plus en plus de citoyens veulent s’y mettre pour (re)prendre la main sur ce qu’ils trouvent dans leur assiette !
Publié le 25 août 2020
Jardiniers (pas si) amateurs…
Se mettre au vert lorsque l’on habite en ville n’est pas forcément évident : pas la place, pas le temps, pas la patience, pas les connaissances… Pourtant, de plus en plus de citoyens veulent s’y mettre pour (re)prendre la main sur ce qu’ils trouvent dans leur assiette !
Quand on n’a pas la main verte, il est possible de se rendre dans une ferme cueillette comme cueillettes chapeau de paille par exemple. Ici, les maraîchers s’occupent de cultiver les fruits, légumes et aromates en fonction des saisons et les particuliers sont là pour récolter en fonction de leurs besoins et envies. Il est aussi possible d’investir ou de louer une passerelle et de la laisser en gestion à un maraîcher grâce à Peas and Love.
Il y a aussi ceux qui aiment jardiner, mais qui n’ont pas le temps de s’y mettre tous les jours ou simplement pas l’envie. Pour ceux-là, il existe des fermes urbaines comme Communauté Facteur Graine ou paysages nourriciers dans lesquelles on peut devenir bénévole pour participer tant à la culture qu’à la récolte des fruits et légumes, pendant son temps libre. De façon plus ponctuelle, il existe de nombreux événements qui tournent autour de l’agriculture et qui proposent des ateliers. Il est aussi possible d’opter pour l’agrotourisme et donc de devenir agriculteur le temps des vacances avec entre autre WWOOF France.
Pour ceux qui ont le temps et la passion, mais pas l’espace, on peut adhérer à un jardin collectif, familial ou partagé comme Oasis Citadine ou V’île fertile Il existe aussi des mini potagers urbains à cultiver de façon collaborative avec d’autres citoyens avec Incroyables Comestibles France.
Pour les plus investis, il existe le réseau Fermes d’Avenir qui peut aider à s’engager dans une démarche de progrès en agroécologie, que ce soit dans le cadre d’une nouvelle installation, d’une réorientation d’une ferme pas-à-pas ou d’une activité déjà exemplaire.